L’histoire se déroule.
L’épisode de la rubéole, en mars 1935.on était allé faire les taupinières. Je ne valais pas grand-chose ce jour-là.
Et puis, aussi, autre récit….
L’instituteur, le rouge. Ce n’était pas lui qu’on craignait dans les punitions. Il fallait faire des lignes, conjuguer les verbes. Non ! Il y avait toujours la possibilité de gruger. On craignait plutôt quand il fallait faire signer le mot aux parents. Parce que là, c’était la dérouillée. Et ça ne manquait pas. Remettre en cause le maître, ça se voyait pas ! ça se faisait pas !
…
Les souvenirs d’il y a plus de soixante dix ans qui remontent, sans que rien ne soit demandé. Total respect pour les anciens.
Connivence aussi quand, malgré le temps, les époques et les modes, à plus de cinquante ans de différence, je raconte la même expérience, les mêmes circonstances, le même rituel : celui d’aller à confesse.
2 commentaires:
vu la photo en noir et blanc, tu n'étais vraiment pas loin du "Couloir"
c'est avec ce genre de commentaire que je me sens tout paumé..... kesako donc,le "couloir"? passage vers l'au-delà (pour les pestiférés, gueux ou gentils hommes)?
les cours secrètes de ce quartier là sont pleines d'intrigues..........
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