mardi 26 août 2008

Le roman de Jean Luc Lagarce

De Jean-Pierre Thibaudat, éd. Les Solitaires intempestifs

Touchant, touffu.

Une amitié théâtrale dans tous les sens du terme « théâtral ». Rétrospective sur ce travail, à chaque fois remis à l’ouvrage. Cette omniprésence de l’écriture. Ces perspectives recommencées.

Au bout du compte, et après coup, je crois que j’aime mieux le roman-hommage d’Olivier Py, Les Paradis de Tristesse.

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