samedi 8 décembre 2007

de quoi retourner au cinéma


Je me suis fait une rétrospective Christophe Honoré, Louis Garrel. Dans Paris et Chansons d’amour, que j’ai regardé deux fois, coup sur coup.

Il y a quelque chose de très théâtralisé dans le premier, ce qui n’est pas pour déplaire. Et en même temps de très subtile, sensible.

Louis Garrel, dans les deux, y est impressionnant de justesse.

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